Une pensée en moi a surgi, à travers le bruit des médias et l’agitation du monde. Elle s’est transformée en réflexion. Elle m’a poussé à prendre la plume et à me replonger dans les vieux livres.
Je n’avais « papier » — alors j’ai écrit sur le silence.
Face aux polémiques récentes autour de la justice en France, je me suis autorisé cette pensée :
« La justice est le fardeau que la raison s’impose Ă elle-mĂŞme, pour ne plus vivre dans l’anarchie — cette nature brute de ceux qui agissent par-delĂ les filtres de la conscience. »
– Christophe Alary