La Justice
Une pensée en moi a surgi, à travers le bruit des médias et l’agitation du monde. Elle s’est transformée en réflexion. Elle m’a poussé à prendre la plume et à me replonger dans les vieux livres.
Je n’avais « papier » — alors j’ai écrit sur le silence.
Face aux polémiques récentes autour de la justice en France, je me suis autorisé cette pensée :
« La justice est le fardeau que la raison s’impose Ă elle-mĂŞme, pour ne plus vivre dans l’anarchie — cette nature brute de ceux qui agissent par-delĂ les filtres de la conscience. »
– Christophe Alary
Les ruines de la Capitelle
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Enfant, je me souviens de n’avoir jamais imaginé les jours sombres et tristes d’une fin de vie difficile. À n’en pas douter, me disais-je, il y avait là , en moi, dans ce que j’étais, tout le terreau fertile pour faire germer une graine, mais je n’y parvenais pas Lire la suite.
Sommes-nous trop nombreux sur terre ? – OUI !
Bilan de conscience
[…] — Papa, papa, as-tu passĂ© un examen de conscience avant le coup de rein ? Parce qu’en donnant la vie, en plus de donner la mort et toutes les emmerdes qui vont avec, tu acceptais que ta progĂ©niture devienne l’esclave d’une usine infernale ?
— Tais-toi, idiot ! J’sais pas trop quoi bien t’dire, moi… Si tu participes pas, c’est la civilisation humaine qui disparaĂ®t, gamin… Puis… J’savais pas moi, qu’c’était pas comme ça Ă mon Ă©poque, couillon ! – Demande Ă ta mère tu vois pas que je regarde un match…, puis…,vas me chercher une bière !
— Oui, mais…c’est la pub, papa..Lire la suite
Le monde économique et politique : reflet du réel ou baromètre illusoire ?
« S’Ă©vader de notre rĂ©alitĂ© collective, c’est quitter un sentier balisĂ© en terre battue pour s’aventurer sur des territoires inconnus. Mais, lorsque la rĂ©alitĂ© de l’imaginaire est rattrapĂ©e par la fiction de notre imaginaire collectif, il devient essentiel de savoir si un sujet observĂ© n’est pas le rĂ©sultat de l’imagination du corps social lui-mĂŞme.
Cette distinction est cruciale pour le bien commun et la santĂ© mentale d’oĂą elle Ă©merge ; sans cela, nous risquons de sombrer dans la folie, n’est-ce pas ? Peut-ĂŞtre le sommes-nous tous dĂ©jĂ un peu, de ne pas faire de notre imaginaire collectif la plus belle salle de jeu de l’univers, une rĂ©alitĂ©. » Lire l’article